mardi 31 mai 2011

les technologies éducatives

formation des enseignants à l'ISP Bukavu

Ce portail s’adresse à tous les enseignants du supérieur, et plus particulièrement ceux des formations scientifiques et techniques.
Il a pour buts de :

  • démystifier les Technologies Educatives
  • faire découvrir leurs apports à l’enseignement
  • offrir informations, aide, conseils et outils à ceux qui souhaitent les intégrer dans leur pratique pédagogique
  • permettre la mutualisation des expériences et des productions des Ecoles  en matière de Technologies Éducatives
  • favoriser la collaboration des enseignants des Écoles du primaire et secondaire autour de projets communs en Technologies Éducatives
Que vous soyez déjà impliqué dans l’utilisation des Technologies Educatives, débutant ou simplement curieux, ce portail vise à vous apporter des ressources ciblées et une information actualisée, dans une orientation pratique centrée pédagogie.
 les outils moderne de formations pour les éleves, il n'y a pas que l'ordinateur comme outils, il faut dire que dans ce domaine, l'enseignant n'est plus au centre de la formation, mais c'est l’apprenant qui en est!!

 les écoles en RDcongo demeurent en retard dans le domaine de technologie éducatives, déjà que le département n'existe même pas dans les instituts supérieurs!!
plusieurs enseignants se demandent toujours comment associer les TIC dans leurs formation, comment intégrer l’outil informatique dans leurs cours...

prenons quelques expressions en Technologie éducatives


La FOAD, c’est quoi au juste ?

 Définition

« La FOAD est un dispositif souple de formation organisé en fonction de besoins individuels ou collectifs (individus, entreprises, territoires). Elle comporte des apprentissages individualisés et l’accès à des ressources et compétences locales ou à distance. Elle n’est pas exécutée nécessairement sous le contrôle permanent d’un formateur ». Circulaire DGEFP n°2001-22 du 20.07.01.
Depuis quelques années on tend à utiliser indifféremment le terme de FOAD et celui d’e.learning. Leurs définitions respectives sont effectivement très proches. La commission de Bruxelles définit l’e.learning comme « l’utilisation des nouvelles technologies multimédias et de l’internet, pour améliorer la qualité de l’apprentissage en facilitant l’accès à des ressources et des services, ainsi que les échanges et la collaboration à distance ».
Cependant le terme d’e.learning est davantage utilisé pour les formations en entreprise. Pour schématiser grossièrement, il y désignerait tous les dispositifs de formation et d’accès à des ressources en ligne à partir du poste de travail. La FOAD a une acception plus large. Outre l’e.learning qu’elle englobe, elle intègre tous les dispositifs ouverts de formation, libérés de contraintes de temps, d’espace, de programme, de groupe et de conditions d’accès. On peut ainsi intégrer à la FOAD les APP, les centres de ressources et l’EAD traditionnel (ex : CNED). Mais c’est surtout l’imprégnation progressive des dispositifs traditionnels qui fait l’ampleur de la FOAD.
L’« ouverture » de ces dispositifs traditionnels, c’est-à-dire l’organisation de formations « mixtes » dans lesquelles on alterne regroupement en présentiel et travail personnel à distance, cours magistral et période d’auto-formation est appeler « blended learning ». Cette formule tend à se développer de plus en plus aujourd’hui.

 Historique

Historiquement la Loi de 1971 sur la formation professionnelle n’institue aucune obligation concernant le mode de diffusion d’un enseignement ou d’un apprentissage. Celui-ci peut donc se faire en présence physique d’un formateur comme à distance. Ce n’est que par la suite que différentes circulaires, pour mieux contrôler la réalité des formations imputables, ont introduit l’obligation de regroupement physique des stagiaires en présence d’un formateur et autant que possible à l’extérieur de l’entreprise, toujours pour des raisons de « transparence ».
Trente ans après la promulgation de la Loi, une circulaire de 2001 (déjà citée) est venue repréciser la réglementation en matière d’organisation de la formation et une circulaire de 2006 a définitivement admis que la FOAD, c’est-à-dire la possibilité d’autoformation tutorée à distance, était une organisation de la formation tout à fait légale. «  Le droit positif régissant la FPC ne comporte aucune disposition susceptible de faire obstacle à la mise en œuvre de ces nouvelles modalités » dit en substance la DGEFP dans cette circulaire.
A condition, bien sûr, que les modalités dont il est question soient conformes à la réglementation générale. Un dispositif d’e.learning est considéré comme imputable s’il apporte la preuve de l’encadrement de la formation par un formateur-tuteur, in situ ou à distance, de manière synchrone ou asynchrone. La simple cession ou mise à disposition de supports à finalité pédagogique n’a pas la nature d’une action de formation professionnelle (circulaire DGEFP n°2006/35 du 14 novembre 2006).

 Contexte

Dans le renversement de la logique de l’offre de formation vers la demande de formation, induit en particulier par l’ANI, les organismes de formation vont devoir répondre à cette demande de manière plus souple et plus fine. La réforme de la formation professionnelle a clairement pour objet d’élargir l’éventail du public formé et d’accroître le nombre de personnes pouvant bénéficier de formation. Sur le fond, la réforme comporte plusieurs interrogations essentielles adressées aux différents acteurs, dans leurs rôles respectifs, qui impactent en particulier l’offre de formation.
Au regard des problématiques rencontrées par les entreprises la réponse formation doit être nécessairement multiforme. La « segmentation » semble s’imposer : outils de diagnostic, dispositif co-construit avec les apprenants eux-mêmes, accompagnement de la VAE, etc. Partant d’une approche segmentée et « sur mesure », il faut s’interroger sur le meilleur périmètre d’intervention. La flexibilité apportée par l’instrumentation de la FOAD peut entraîner chez les chefs d’entreprise et les salariés, une représentation plus favorable de la formation en leur permettant de jouer un rôle actif dans l’élaboration des dispositifs qui leur sont proposés.

 Composition

Bernard BLANDIN a proposé il y a dix ans un schéma global pour illustrer l’univers de la FOAD à travers ce qu’il a appelé les quatre mondes :
Schéma n°1 : les quatre mondes de la FOAD
schéma global selon Bernard BLANDIN
Schéma n°1 : les quatre mondes de la FOAD
- La formation à distance n’est pas une simple mise à distance de la formation :
Pour que la qualité pédagogique « franchisse la distance », c’est-à-dire qu’elle puisse être identique à celle qu’on est en droit d’attendre d’une formation présentielle, la conception des ressources, les situations pédagogiques et l’architecture technique sont déterminantes.
Pour être transmise de manière permanente et stable, la formation à distance doit être construite par unités d’apprentissage matérialisées en grains, séquences, modules et parcours que l’apprenant va pouvoir utiliser à sa convenance en temps choisis et dans des lieux les plus accessibles possibles pour lui.
On voit ainsi que la FOAD permet de réinterroger des fondamentaux de l’ingénierie de formation et de l’ingénierie pédagogique : modularisation de l’offre, scénarisation des parcours, usage des ressources multimédias, autoformation accompagnée, à distance ou en centre de ressources, etc. Cette ré-interrogation va dans le sens de l’individualisation des parcours. Elle doit pousser à la modularisation et la mise à distance de l’offre de formation. L’augmentation des savoir-faire des organismes peut (doit) aussi contribuer, par l’optimisation des moyens à l’équilibre économique de nouveaux modèles.
- Cinq caractéristiques peuvent ainsi être retenues concernant la FOAD :
1/ La centration sur l’apprenant : autonomie – individualisation/personnalisation –coproduction ;
2/ L’importance accrue des ressources pédagogiques : interactivité – ergonomie – modèle pédagogique – actualisation ;
3/ L’utilisation des T.I.C. : fiabilité – souplesse – interactivité ;
4/ L’évolution des métiers de la formation : coordination de la chaîne de production – mutations technologiques ;





Outils

Le premier outil devenu incontournable en formation à distance est la plateforme de téléformation, logiciel permettant d’administrer un dispositif de formation par la gestion des inscriptions, la production et la diffusion de cours, l’accompagnement tutoral, le suivi et l’évaluation pédagogique. Ce logiciel permet d’administrer des flux importants de stagiaires, fournit des cadres de travail harmonisés, donne les moyens de « traçabilité » des activités et peut représenter l’institution et valoriser ses savoir faire.
Le principal intérêt d’une plateforme c’est de pouvoir dispenser de la formation à distance, de manière asynchrone et en accès permanent pour un nombre d’utilisateurs pouvant aller jusqu’à plusieurs milliers, selon la puissance du logiciel et du serveur qui le supporte.
Avec une plateforme « libre » de type Claroline, les principales fonctionnalités sont : - pour le formateur, la possibilité de gestion individuelle et collective des inscrits, la production de cours, les espaces d’information et de communication partagés, le suivi pédagogique, l’édition de statistiques sur la fréquentation et l’utilisation des différents outils ainsi que sur les résultats des stagiaires. Pour l’apprenant la possibilité de suivre un parcours personnalisé en autoformation, auto-évaluation et en accès libre à toute heure et en tout lieu.
Mais aujourd’hui quasiment toute la technologie internet et web peut être utilisée à des fins d’enseignement et d’apprentissage. Le schéma ci-dessous décompose deux des principales familles d’outils utilisés en FOAD, plateforme et classe virtuelle, selon le niveau d’interaction et d’implication que leurs fonctionnalités permettent à l’utilisateur. Par interaction, on entend la possibilité d’échanges de l’utilisateur avec son environnement. Par implication on entend l’« engagement » de l’utilisateur dans la communication avec son environnement.



   schéma n° 3 : mesure d’interactivité (échanges formé/formateur) et d’implication (investissement de l’apprenant) dans l’utilisation des principaux équipements et outils en FOAD.
Par exemple, on peut voir dans le tableau que la simple navigation sur le web est au niveau 0 de l’implication et de l’interaction alors que la conférence en ligne est au maximum de ces deux fonctions. Interagir et s’impliquer sont deux des critères parmi les plus importants que l’on retienne pour juger de la qualité pédagogique d’une formation d’adultes, quelle que soit la manière d’organiser cette formation.



Marché

- L’offre de FOAD/e.learning se décline sur le marché dans trois catégories :
1/ les infrastructures (outils)
2/ les ressources
3/ les services. Le schéma ci-dessous résume ce que recouvrent ces trois catégories et pour quels usages on recourt aux outils listés ci-dessous.
Schéma n°4 : la démarche d'achat d'un dispositif d'e.learning  








Schéma n°4 : la démarche d’achat d’un dispositif d’e.learning
Schéma n° 5 - Dépenses e-learning par segment de marché en Europe (2006)
Schéma n° 5 - Dépenses e-learning par segment de marché en Europe (2006)
  • Offreurs
Les offreurs de formation en FOAD/e.learning peuvent être classés de la manière suivante :
1/ les grands groupes du secteur informatique et bureautique : 80 % de l’offre ;
INSERER tableau n° 1 – répartition de l’offre entre les trois catégories de produits caractérisant le marché de l’e.learning
2/ les acteurs traditionnels de l’éducation et de la formation, parmi lesquels :
3/ les éditeurs de contenus pédagogiques
Ils cherchent aujourd’hui à bénéficier des nouvelles opportunités du Web. Parmi ces éditeurs on peut citer en exemple : Bordas, Cadmos, Carré multimédia, Cde4, CNED-Champion, Dada Média, Delagrave, Edition de l’Analogie, Edumédia, Euro-France Edition / ANPE, France 5, Génération 5, l’Ina, Jeriko, Larousse, Le Monde Interactif, Dictionnaires Le Robert, Maxicours, Nathan, Odile Jacob Multimédia, l’ONISEP, Paraschool, Pierron Education, Softissimo (liste donnée par le Ministère de l’Education Nationale).
4/ les spécialistes de la formation en ligne
Ce sont ces prestataires qui fournissent des ressources et produits « clé en main ». Nous en avons retenu une douzaine pour l’importance qu’ils occupent sur le marché.
Prestataire Produits Clients Prix
Auralog Logiciels d’apprentissage de l’anglais : CD Rom + Internet + tuteurs dont Tell Me More e-coaching (parcours individualisé avec un tuteur) ou TTM online (méthode sur internet ou intranet). PME, particuliers Tell Me More e-coaching : entre 370 et 460€ par trimestre par personne. Tell Me More online : entre 45 et 165€ par an par personne
Campus of Europe Plate-forme grands comptes, mais possibilité pour O.F., en mode FAH partagé. Outils de création, de diffusion et de gestion de cours, ainsi qu’un espace d’échange de cours Grands comptes, O.F., PME En mode FAH pour PME : de 1 000 à 2 000€ par mois. Solution complète pour grands comptes : droit d’entrée de 15 000€, puis licence par personne de 1 à 30€ selon le nombre.
Cross Institute Intégrateur. Offre : conseil et ingénierie pédagogique. Conception et réalisation de contenu sur mesure Grands comptes, PME Conseil : entre 800 et 1200€ par jour. Développement : entre 12 000 et 30 000€ l’heure d’e-learning
Docent Plate-forme de gestion de la formation en entreprise (intégrée ou FAH). Différents outils permettant de planifier les formations, créer des contenus, diffuser des cours, etc Grands comptes de plus de 1 000 salariés. Vente d’un serveur (1 000 utilisateurs) : 75 000 € la 1ère année (maintenance incluse). Année suivante égale à 20% du prix initial.
Editions ENI Informatique et bureautique en ligne. Vendues avec plate-forme. Tutorat souvent assuré par des O.F. partenaires. Grands comptes, O.F. , PME Licence par utilisateur en fonction de la formation, valable trois ans. De 20 à 50€ par licence (sans tutorat). Pas de droit d’entrée pour les PME.
E-learning Agency DEMOS Formations sur mesure, conseils Grands comptes, PME
Hyperoffice Intégrateur. Offre : conseil, ingénierie pédagogique, pilotage de projets complexes, conception de contenu sur mesure. Grands comptes, PME Conseil : de 700€ à 1 300€ par jour. Création d’un module de formation en ligne d’une heure : entre 10 000 et 25 000€
Iprogress - Bernard Julhiet Group Cours d’informatique et de bureautique en ligne avec tutorat. Plate-forme hébergée en central (FAH). Grands comptes, PME Pour PME : entre 200 et 300 € par personne. Grands comptes : contenus compatibles LMS (internet ou FAH)
Learning Space (IBM) Plate-forme de diffusion et suivi de l’e-learning. Lotus. Comprend les mêmes fonctionnalités que Docent. Grands comptes pour le LMS, PME Entre 41 et 70€ par utilisateur. Pas de droit d’entrée. Tranche Passeport Lotus IBM
Smart Canal Formation sur étagères en bureautique, RH, gestion, anglais, développement personnel… Outil auteur
De 20 à 50 euros par module selon l’abonnement au moi ou au trimestre
Syfadis Plate-forme de gestion et de diffusion d’e-learning. Outil de gestion des cours en ligne. Pas de suivi des compétences. Deux possibilités d’acquisition : en FAH ou en acquisition de licence. O.F., grands comptes, grosses PME En mode FAH : à partir de 530€ par mois. Licence à partir de 12 000€, puis en fonction du nombre d’utilisateurs.
Télélangues Langues. Tutorat par Internet. Cyberteacher : logiciel permettant de créer un cours d’anglais en ligne par Internet, intranet. Grands comptes, PME Abonnement annuel : entre 300 et 470€ par an par personne.
5/ les nouveaux intermédiaires
Ils créent, hébergent, et commercialisent des cours en ligne. Ce sont les SSII, les cabinets-conseils, les start up et les géants du web qui sont déjà au cœur des contenus et sont au contact des utilisateurs finaux. Mais on voit se profiler aussi les opérateurs de téléphonie, la grande distribution et bientôt les chaînes de télévisions.
Il ne faut cependant pas oublier dans le secteur « non marchand » l’offre des Universités. L’e-learning s’est développé en entreprise, mais occupe aussi une place importante dans l’enseignement supérieur. Les premiers à en avoir expérimenté les potentiels ont été les universitaires, dont certains travaux de recherche remontent à plusieurs dizaines d’années. On peut consulter sur le site de l’OCDE une somme d’informations importante sur ces travaux.
  • Acheteurs
Plus de 65 % des utilisateurs d’e.learning se situent dans les entreprises de plus de 1000 salariés . 25 % se répartissent dans les entreprises allant de 200 à 1000 salariés. La vision sur les 10 % restant est très vague et celle concernant les TPE est presque nulle. Les pourcentages sont quasiment identiques à ceux de la formation en générale. Il n’y a donc qu’un pas à franchir pour penser que l’e-learning contribue à faciliter la formation de ceux qui, de toute façon, en bénéficiaient déjà. C’est une donnée importante qui permet de relativiser le discours sur l’innovation par les NTIC.
Au niveau mondial ce sont logiquement les entreprises de l’aéronautique et de l’automobile qui ont été les premières utilisatrices du e-learning, au point d’en définir les normes. Cependant c’est plus certainement les secteurs de la banque et des assurances qui sont aujourd’hui, en France comme ailleurs, les plus gros utilisateurs. Viennent ensuite, tous les secteurs professionnels dont les employés travaillent majoritairement sur informatique. Pour connaître plus précisément les répartitions il faut s’en remettre aux données uniques fournies par le Baromètre 2008 de la CCI de Paris, même si ces données portent sur un spectre limité (250 entreprises).
  • Domaines
50 % des contenus de formation en FOAD/e.learning portent sur les ressources humaines. Viennent ensuite la finance, la comptabilité et le marketing/vente (14%), la relation client, la production et les achats (13%), la chaîne logistique (8%), et enfin les réglementations, la qualité ou la sécurité. Une tendance forte est cependant à l’usage du e-learning pour des besoins spécifiques des entreprises, propres à leur cœur de métier. Il existe ainsi une demande croissante de modules de formation adaptés.
Dossier documentaire
La FOAD : Approches conceptuelles, méthodologiques et techniques
la lettre FOAD
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Consulter aussi l’article "Mutations technologiques, innovation pédagogique et évolution du métier de formateur" sur le site pratiques-de-la-formation rubrique FOAD
Contributeur : Michel Lisowski, Centre Inffo
Article mis à jour le 6 avril 2011

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